
Julien Coupat (presque) libre
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je suis toujour cette affaire, un ans de control judiciaire, pour la campagne de julien, et lui méme,
sans aucunes solution ni preuves,(interdiction de quitter le departement, pointer a la gendarmerie tout les semaines, ne pas pouvoir ce rencontrer, )
la justice patine, elle fait trainée l affaire pour mieux l etouffer , une fois les media partis..
peut on pourrir la vie des gens sans preuves????
sans aucunes solution ni preuves,(interdiction de quitter le departement, pointer a la gendarmerie tout les semaines, ne pas pouvoir ce rencontrer, )
la justice patine, elle fait trainée l affaire pour mieux l etouffer , une fois les media partis..
peut on pourrir la vie des gens sans preuves????
la caravane passe et les chiens aboient
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Bonjour,
Mis en examen il y a un an pour "association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste", les dix suspects dans l’enquête sur le sabotage des lignes TGV ont vu leur contrôle judiciaire considérablement allégé vendredi. La cour d’appel de Paris a pris cette décision contre l’avis du parquet général qui avait requis le maintien de l'intégralité des mesures.
Pour Julien Coupat, le chef présumé du groupe dit de "Tarnac" et les neuf autres suspects, la chambre de l'instruction n'a maintenu que l'interdiction de se rencontrer et de communiquer entre eux. Leur passeport leur a été rendu, ils n’ont plus l’obligation de "pointer" à intervalles réguliers dans les commissariats et ni de résider dans des lieux déterminés.
"Cette décision a un vrai parfum d'apaisement", a réagi Me William Bourdon, un des avocats des suspects. Début décembre, les dix mis en examen avaient écrit une tribune dans Le Monde intitulée "Pourquoi nous cessons de respecter les contrôles judiciaires". "Imaginez que vous ayez le droit de voir qui vous voulez, sauf ceux que vous aimez, que vous puissiez habiter n'importe où, sauf chez vous, que vous puissiez parler librement, au téléphone ou devant des inconnus, mais que tout ce que vous dites puisse être, un jour ou l'autre, retenu contre vous. Imaginez que vous puissiez faire tout ce que vous voulez, sauf ce qui vous tient à coeur", écrivaient-ils.
Reste à savoir ce que vont faire ces dix suspects. Me Bourdon précise qu’ils vont maintenant décider s'ils maintiennent leur position de ne plus respecter aucune de leurs obligations, quitte à être renvoyés en prison, ou s’ils vont accepter de se conformer à ces nouvelles règles. La levée de l’interdiction de communiquer entre eux était une de leurs revendications principales et n’a pas été satisfaite.
Depuis le début de l’affaire, les neuf dits de "Tarnac" nient les faits. Le parquet et la police les a décrits comme des militants "d'ultragauche". Mais de nombreux soupçons pèsent autour de la conduite de cette enquête.
Qu'en pensez vous ?
A plus tard,
Mis en examen il y a un an pour "association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste", les dix suspects dans l’enquête sur le sabotage des lignes TGV ont vu leur contrôle judiciaire considérablement allégé vendredi. La cour d’appel de Paris a pris cette décision contre l’avis du parquet général qui avait requis le maintien de l'intégralité des mesures.
Pour Julien Coupat, le chef présumé du groupe dit de "Tarnac" et les neuf autres suspects, la chambre de l'instruction n'a maintenu que l'interdiction de se rencontrer et de communiquer entre eux. Leur passeport leur a été rendu, ils n’ont plus l’obligation de "pointer" à intervalles réguliers dans les commissariats et ni de résider dans des lieux déterminés.
"Cette décision a un vrai parfum d'apaisement", a réagi Me William Bourdon, un des avocats des suspects. Début décembre, les dix mis en examen avaient écrit une tribune dans Le Monde intitulée "Pourquoi nous cessons de respecter les contrôles judiciaires". "Imaginez que vous ayez le droit de voir qui vous voulez, sauf ceux que vous aimez, que vous puissiez habiter n'importe où, sauf chez vous, que vous puissiez parler librement, au téléphone ou devant des inconnus, mais que tout ce que vous dites puisse être, un jour ou l'autre, retenu contre vous. Imaginez que vous puissiez faire tout ce que vous voulez, sauf ce qui vous tient à coeur", écrivaient-ils.
Reste à savoir ce que vont faire ces dix suspects. Me Bourdon précise qu’ils vont maintenant décider s'ils maintiennent leur position de ne plus respecter aucune de leurs obligations, quitte à être renvoyés en prison, ou s’ils vont accepter de se conformer à ces nouvelles règles. La levée de l’interdiction de communiquer entre eux était une de leurs revendications principales et n’a pas été satisfaite.
Depuis le début de l’affaire, les neuf dits de "Tarnac" nient les faits. Le parquet et la police les a décrits comme des militants "d'ultragauche". Mais de nombreux soupçons pèsent autour de la conduite de cette enquête.
Qu'en pensez vous ?
A plus tard,
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire »
Le débat ne s'arrête jamais sur Actu-Politique
Dans l'affaire des "pseudos terroristes de Tarnac", tout a été foireux dés le début. Il y a surtout derrière le fait de vouloir protéger les français des actes terroristes, la justification de la mise en place d'une procédure judiciaire d'exception à l'égard de toute personne suspectée de terrorisme. La Loi ne peut être bien faite que si ceux qu'ils l'appliquent font preuve de discernement avec l'appui d'une procédure millimétrée.
Suite à cette affaire et la façon déplorable avec laquelle l'instruction a été menée ( cela fait quelque part penser à Outreau ), il serait urgent de revoir la législation de cette procédure...
Suite à cette affaire et la façon déplorable avec laquelle l'instruction a été menée ( cela fait quelque part penser à Outreau ), il serait urgent de revoir la législation de cette procédure...
Soit cet attentat a été le fait d'une petite bande de "pieds nickelés", genre adolescents attardés qui n'avaient pas compris la portée de leur blague débile et dans ce cas là, vu le cirque, il n'y a pas de récidive.
Soit cet attentat est le fait d'une organisation structurée qui a pour seul but de nuire qui n'a aucune raison de s'arréter.
Or, cela s'est effectivement "plus ou moins" arrêté ( car il y a, de temps en temps, encore des petites "conneries" faites sur les voies mais que la Presse Nationale a fait le choix judicieux de ne pas évoquer )
Coupat, intellectuels fils de bourgeois intellos ne correspond pas trop aux deux descriptions ci-dessus !
Soit cet attentat est le fait d'une organisation structurée qui a pour seul but de nuire qui n'a aucune raison de s'arréter.
Or, cela s'est effectivement "plus ou moins" arrêté ( car il y a, de temps en temps, encore des petites "conneries" faites sur les voies mais que la Presse Nationale a fait le choix judicieux de ne pas évoquer )
Coupat, intellectuels fils de bourgeois intellos ne correspond pas trop aux deux descriptions ci-dessus !
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pour moi quand il y a aucunes preuves, la justice doit ont tenir compte.
cette affaire a étée gonflée par les politiques, et la police, il faut des cupables, alors ont les fabriques..
se genre d affaire fait peur ,car baucoups peuvent un jour en faire les frats de cette justice politiques.
il suffit d avoir des idées , qui derange et c est partis..
la justice grande pu.... de l etat fait durée la procedure,
car il y a rien de concret, mais ils sacharnent, rien que pour ne pas perdre la face.. jusqua que les politiques en place changes, car la c est bien une affaire politique
cette affaire a étée gonflée par les politiques, et la police, il faut des cupables, alors ont les fabriques..
se genre d affaire fait peur ,car baucoups peuvent un jour en faire les frats de cette justice politiques.
il suffit d avoir des idées , qui derange et c est partis..
la justice grande pu.... de l etat fait durée la procedure,
car il y a rien de concret, mais ils sacharnent, rien que pour ne pas perdre la face.. jusqua que les politiques en place changes, car la c est bien une affaire politique
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le probleme pour moi c est la justice,
si elle a des preuves valable, quelle faces voires.et quelle condanne(si il y a lieu)
si elle na rien de valable(que des racontards,ou delation) quelle se taise.
une justice et une police aux odres des politiques, c est grave, ils leurs faut des coupable a tout prix, et c est pas leurs premiere erreur
si elle a des preuves valable, quelle faces voires.et quelle condanne(si il y a lieu)
si elle na rien de valable(que des racontards,ou delation) quelle se taise.
une justice et une police aux odres des politiques, c est grave, ils leurs faut des coupable a tout prix, et c est pas leurs premiere erreur
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Il est sous contrôle judiciaire, il ne peut pas faire ce qu'il veut.mps a écrit :Crois-moi que si Coupat était innocent, il passerait son temps à donner des interviews et à publier ses mémoires icon_biggrin
If the radiance of a thousand suns were to burst into the sky, that would be like the splendor of the Mighty One— I am become Death, the shatterer of Worlds.
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