
Vers une baisse de la Tva à 5,5% dans la restauration ?
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Bonjour,
Le retour du feuilleton "baissons la TVA pour la restauration". Avec cependant cette fois-ci, de réelles chances d'aboutir. Longtemps opposée au projet, l'Allemagne s'est dite mardi "prête à oeuvrer en faveur d'un compromis" sur l'élargissement des taux réduits de TVA aux secteurs à forte intensité de main d'oeuvre et à la restauration. La promesse avait été faite aux restaurateurs français par Jacques Chirac lors de sa campagne aux élections présidentielles, elle pourrait être obtenue par le président Sarkozy.
Dès le mois de juin ?
"C'est une bonne nouvelle car l'Allemagne a une voie prépondérante", a déclaré Didier Chenet, président du Synhorcat (Syndicat des Hôteliers, Restaurateurs, Cafetiers et Traiteurs) Prochaine étape mardi prochain lors de la réunion des ministres des Finances de l'Union européenne. Le synhorcat, deuxième syndicat de la profession, espère que d'autres nations ne viendront pas se mettre en travers de la décision. "Les pays de l'Est ne sont pas très favorables à une baisse de la TVA", selon Didier Chenêt. Si la proposition est adoptée, il lui faudra encore passer devant l'Assemblée nationale et le Sénat pour être votée mais pourrait entrer en vigueur "dès le mois de juin", selon l'organisation syndicale.
Une baisse de la TVA dans la restauration se traduira-t-elle par une baisse des prix sur la carte ? "Nous n'avons pas le choix", estime Jean-Pierre Chedal, PDG des restaurants Bar à huîtres à Paris. Avec la crise, les Français vont moins au restaurant et si les professionnels veulent les séduire, ils doivent agir sur les prix.
Selon le ministre du Budget, Eric Woerth, la diminution éventuelle de la TVA dans la restauration devrait coûter à l'Etat un milliard d'euros. La mesure devrait, en outre, avoir un impact conséquent en termes d'emplois. «L'idée est de savoir si ce milliard d'euros est bien placé ou pas. La restauration est un secteur extraordinairement pourvoyeur d'emplois. Je pense qu'on doit pouvoir augmenter les emplois, c'est d'ailleurs un engagement»
Qu'en pensez vous ?
A plus tard,
Le retour du feuilleton "baissons la TVA pour la restauration". Avec cependant cette fois-ci, de réelles chances d'aboutir. Longtemps opposée au projet, l'Allemagne s'est dite mardi "prête à oeuvrer en faveur d'un compromis" sur l'élargissement des taux réduits de TVA aux secteurs à forte intensité de main d'oeuvre et à la restauration. La promesse avait été faite aux restaurateurs français par Jacques Chirac lors de sa campagne aux élections présidentielles, elle pourrait être obtenue par le président Sarkozy.
Dès le mois de juin ?
"C'est une bonne nouvelle car l'Allemagne a une voie prépondérante", a déclaré Didier Chenet, président du Synhorcat (Syndicat des Hôteliers, Restaurateurs, Cafetiers et Traiteurs) Prochaine étape mardi prochain lors de la réunion des ministres des Finances de l'Union européenne. Le synhorcat, deuxième syndicat de la profession, espère que d'autres nations ne viendront pas se mettre en travers de la décision. "Les pays de l'Est ne sont pas très favorables à une baisse de la TVA", selon Didier Chenêt. Si la proposition est adoptée, il lui faudra encore passer devant l'Assemblée nationale et le Sénat pour être votée mais pourrait entrer en vigueur "dès le mois de juin", selon l'organisation syndicale.
Une baisse de la TVA dans la restauration se traduira-t-elle par une baisse des prix sur la carte ? "Nous n'avons pas le choix", estime Jean-Pierre Chedal, PDG des restaurants Bar à huîtres à Paris. Avec la crise, les Français vont moins au restaurant et si les professionnels veulent les séduire, ils doivent agir sur les prix.
Selon le ministre du Budget, Eric Woerth, la diminution éventuelle de la TVA dans la restauration devrait coûter à l'Etat un milliard d'euros. La mesure devrait, en outre, avoir un impact conséquent en termes d'emplois. «L'idée est de savoir si ce milliard d'euros est bien placé ou pas. La restauration est un secteur extraordinairement pourvoyeur d'emplois. Je pense qu'on doit pouvoir augmenter les emplois, c'est d'ailleurs un engagement»
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Toutes les baisses de TVA se sont déroulée ainsi, et même si ce n'était pas le cas ce n'est pas les plus pauvres qui en profiteront, car le seul resto qu'il connaissent c'est celui du coeur.lambertini a écrit :bonsoir je ne pense pas que sa ce traduise par des embauches , ni par une baisse des prix , une grande partie ira dans la poche des patrons.. jespére me tromper
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Bonjour,
Le restaurant au coin de votre rue est-il plus cher que la moyenne française ? Voilà un nouvel élément de comparaison : selon une enquête menée dans 2.470 restaurants en France, le café au restaurant coûte en moyenne 1,73 euro, le premier menu est à 12,95 euros et le plat du jour à 9,67 euros.
L'enquête a été réalisée pour Bercy "en vue de mesurer l'impact de la réduction de la TVA sur les prix dans le secteur de la restauration". Cela doit permettre "ensuite de déterminer s'il y a véritablement des efforts" de la part des professionnels a expliqué la ministre de l'Economie. "On aura tous les éléments tangibles pour avancer".
A plus tard,
Le restaurant au coin de votre rue est-il plus cher que la moyenne française ? Voilà un nouvel élément de comparaison : selon une enquête menée dans 2.470 restaurants en France, le café au restaurant coûte en moyenne 1,73 euro, le premier menu est à 12,95 euros et le plat du jour à 9,67 euros.
L'enquête a été réalisée pour Bercy "en vue de mesurer l'impact de la réduction de la TVA sur les prix dans le secteur de la restauration". Cela doit permettre "ensuite de déterminer s'il y a véritablement des efforts" de la part des professionnels a expliqué la ministre de l'Economie. "On aura tous les éléments tangibles pour avancer".
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Bonjour
Je relance ce sujet parce que :
Les restaurateurs se sont engagés à baisser de 11,8% les prix de certains produits comme le café, l'eau minérale ou le plat du jour, et à créer 40.000 emplois, en échange de la baisse de la TVA à 5,5%, a annoncé mardi le secrétaire d'Etat au Commerce Hervé Novelli.
"Les prix vont baisser de 11,8% sur une large liste de produits, allant de l'entrée aux plats, en passant par les diverses formules, et jusqu'à l'emblématique café noir", a expliqué Hervé Novelli, lors des états généraux de la restauration, détaillant le contrat d'avenir que les restaurateurs s'apprêtent à signer avec l'Etat.
Sur cette liste de dix produits, chaque restaurateur devra en choisir sept sur lesquels il répercutera en totalité la baisse de la TVA, soit une baisse de 11,8%.
A plus tard,
Je relance ce sujet parce que :
Les restaurateurs se sont engagés à baisser de 11,8% les prix de certains produits comme le café, l'eau minérale ou le plat du jour, et à créer 40.000 emplois, en échange de la baisse de la TVA à 5,5%, a annoncé mardi le secrétaire d'Etat au Commerce Hervé Novelli.
"Les prix vont baisser de 11,8% sur une large liste de produits, allant de l'entrée aux plats, en passant par les diverses formules, et jusqu'à l'emblématique café noir", a expliqué Hervé Novelli, lors des états généraux de la restauration, détaillant le contrat d'avenir que les restaurateurs s'apprêtent à signer avec l'Etat.
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Perso j'ai boycotté les restaurants depuis les nouvelles lois scélérates concernant l'interdiction de fumer dans les lieux publiques. Mais depuis que j'ai acheté une pipe à vaporisation me permettant d'inhaler de la vapeur de tabac ou de marijuana sans faire de fumée, je me suis remis à fréquenter ces établissements. Par contre, en tant que client, j'en ai rien à foutre de cette diminution de TVA. Je sais très bien que cela n'aura aucune incidence sur mon porte-feuille étant donné que ce n'est pas le client qui en profitera mais le patron du restau (pour finir de payer les traites de sa deuxième Jaguar haha).
Ce qui distingue principalement l'ère nouvelle de l'ère ancienne, c'est que le fouet commence à se croire génial. K M
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Bonjour,
"Compte tenu des engagements pris, le chef de l'Etat a demandé à Mme Christine Lagarde (...) de proposer au Parlement de fixer le taux de la TVA sur la restauration à 5,5 % à partir du 1er juillet 2009, dès le début de la saison touristique". C'est le message essentiel du communiqué émis par la présidence. "Le président de la République salue la signature d'un contrat d'avenir entre l'État et les organisations professionnelles, prévoyant des engagements en matière de baisse des prix, des objectifs de créations d'emplois, une augmentation de 20.000 places d'apprentis pour les jeunes, l'amélioration de la situation des salariés et la modernisation du secteur", a ajouté l'Elysée.
Dans le communiqué de l'Elysée, Nicolas Sarkozy a demandé à Mme Lagarde et au secrétaire d'Etat au Commerce "d'être très attentifs au respect de ces engagements et de prendre toutes les mesures nécessaires à leur stricte application", poursuit le communiqué de la présidence. Promesse de Jacques Chirac en 2002, l'entrée en vigueur du taux de TVA réduit à 5,5% dans la restauration était initialement programmée pour le 1er janvier 2010.
A plus tard,
"Compte tenu des engagements pris, le chef de l'Etat a demandé à Mme Christine Lagarde (...) de proposer au Parlement de fixer le taux de la TVA sur la restauration à 5,5 % à partir du 1er juillet 2009, dès le début de la saison touristique". C'est le message essentiel du communiqué émis par la présidence. "Le président de la République salue la signature d'un contrat d'avenir entre l'État et les organisations professionnelles, prévoyant des engagements en matière de baisse des prix, des objectifs de créations d'emplois, une augmentation de 20.000 places d'apprentis pour les jeunes, l'amélioration de la situation des salariés et la modernisation du secteur", a ajouté l'Elysée.
Dans le communiqué de l'Elysée, Nicolas Sarkozy a demandé à Mme Lagarde et au secrétaire d'Etat au Commerce "d'être très attentifs au respect de ces engagements et de prendre toutes les mesures nécessaires à leur stricte application", poursuit le communiqué de la présidence. Promesse de Jacques Chirac en 2002, l'entrée en vigueur du taux de TVA réduit à 5,5% dans la restauration était initialement programmée pour le 1er janvier 2010.
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Bonjour,
L'Assemblée nationale a adopté, mercredi soir 17 juin, le taux de TVA à 5,5% dans la restauration sur place -contre 19,6% actuellement- à compter du 1er juillet. Selon Hervé Novelli, secrétaire d'Etat au Tourisme, le coût serait de "2,35 milliards d'euros".
Déjà promise par Jacques Chirac lorsqu'il était à l'Elysée, elle avait été autorisée, fin mai 2009, par une directive européenne.
Elle a été transposée en droit français par un amendement du gouvernement au projet de loi de développement et de modernisation des services touristiques, actuellement examiné à l'Assemblée.
Déjà en vigueur pour la restauration à emporter, le taux de 5,5% ne vaudra pas pour les boissons alcoolisées.
En contrepartie, les représentants de la restauration se sont engagés à une baisse des prix qui devra atteindre 11,8% dans la restauration traditionnelle.
Hervé Novelli souligne qu'ils se sont également engagés à créer 40.000 emplois en deux ans.
Ces engagements ont été pris dans le cadre d'un "contrat d'avenir" signé le 28 mars dernier lors des Etats généraux de la restauration entre l'Etat et les représentants du secteur.
Un "fonds de modernisation" de la restauration, destiné à accompagner les restaurateurs dans leurs efforts d'investissement", est aussi prévu.
La gauche s'est montrée hostile à la baisse de la TVA en raison des "lourdes conséquences pour les finances publiques". "C'est une décision à 3 milliards d'euros", a dénoncé le socialiste Jérôme Cahuzac.
Le président PS de la commission des Finances, Didier Migaud, a proposé en vain de limiter à quatre ans cette baisse de la TVA ou de trouver des compensations.
"Seuls les ânes ne reculent pas. Limiter à quatre ans une telle mesure, ce serait faire un mauvais coup à la profession et mettre un frein net à l'embauche", a rétorqué le rapporteur UMP Jean-Louis Léonard.
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L'Assemblée nationale a adopté, mercredi soir 17 juin, le taux de TVA à 5,5% dans la restauration sur place -contre 19,6% actuellement- à compter du 1er juillet. Selon Hervé Novelli, secrétaire d'Etat au Tourisme, le coût serait de "2,35 milliards d'euros".
Déjà promise par Jacques Chirac lorsqu'il était à l'Elysée, elle avait été autorisée, fin mai 2009, par une directive européenne.
Elle a été transposée en droit français par un amendement du gouvernement au projet de loi de développement et de modernisation des services touristiques, actuellement examiné à l'Assemblée.
Déjà en vigueur pour la restauration à emporter, le taux de 5,5% ne vaudra pas pour les boissons alcoolisées.
En contrepartie, les représentants de la restauration se sont engagés à une baisse des prix qui devra atteindre 11,8% dans la restauration traditionnelle.
Hervé Novelli souligne qu'ils se sont également engagés à créer 40.000 emplois en deux ans.
Ces engagements ont été pris dans le cadre d'un "contrat d'avenir" signé le 28 mars dernier lors des Etats généraux de la restauration entre l'Etat et les représentants du secteur.
Un "fonds de modernisation" de la restauration, destiné à accompagner les restaurateurs dans leurs efforts d'investissement", est aussi prévu.
La gauche s'est montrée hostile à la baisse de la TVA en raison des "lourdes conséquences pour les finances publiques". "C'est une décision à 3 milliards d'euros", a dénoncé le socialiste Jérôme Cahuzac.
Le président PS de la commission des Finances, Didier Migaud, a proposé en vain de limiter à quatre ans cette baisse de la TVA ou de trouver des compensations.
"Seuls les ânes ne reculent pas. Limiter à quatre ans une telle mesure, ce serait faire un mauvais coup à la profession et mettre un frein net à l'embauche", a rétorqué le rapporteur UMP Jean-Louis Léonard.
A plus tard,
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire »
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Si quelqu'un pouvait m'expliquer pourquoi ce socialiste propose cette limitation, quel est son argumentaire? Car jusqu'à maintenant, on nous rabache que la baisse de la TVA va faire baisser les prix (c'est sur le papier et c'est signé donc ça risque d'être vrai) mais personne ne nous a dit pourquoi il est dangereux de la baisser.Le président PS de la commission des Finances, Didier Migaud, a proposé en vain de limiter à quatre ans cette baisse de la TVA
En tout cas bonne nouvelle pour notre tourisme !
http://zestedesavoir.com une association pour la beauté du zeste.
En effet j'ai du mal à voir en quoi c'est problématique...artragis a écrit :Si quelqu'un pouvait m'expliquer pourquoi ce socialiste propose cette limitation, quel est son argumentaire? Car jusqu'à maintenant, on nous rabache que la baisse de la TVA va faire baisser les prix (c'est sur le papier et c'est signé donc ça risque d'être vrai) mais personne ne nous a dit pourquoi il est dangereux de la baisser.Le président PS de la commission des Finances, Didier Migaud, a proposé en vain de limiter à quatre ans cette baisse de la TVA
En tout cas bonne nouvelle pour notre tourisme !
Comme Racaille, je ne fréquente plus que quelques restaurants qui font encore des émangements sympathiques pour les fumeurs icon_biggrin
Mais la baisse de la TVA das l'Horeca me semble une fumisterie !
Aller au restaurant ou au café est un luxe qui n'a besoin d'aucun dumping.
D'autant plus que les restaurateurs s'en mettent plein les poches (on les retrouve sur les plus beaux yachts de Méditerranée, les chalets les mieux équipés au sports d'hiver, etc).
Je ne vois pas pourquoi la TVA serait plus basse our une assiette qui revient à 20 fois plus qu'à la maison, mais ne le serait pas pour les traiteurs, ou les repasseuses.
Mais la baisse de la TVA das l'Horeca me semble une fumisterie !
Aller au restaurant ou au café est un luxe qui n'a besoin d'aucun dumping.
D'autant plus que les restaurateurs s'en mettent plein les poches (on les retrouve sur les plus beaux yachts de Méditerranée, les chalets les mieux équipés au sports d'hiver, etc).
Je ne vois pas pourquoi la TVA serait plus basse our une assiette qui revient à 20 fois plus qu'à la maison, mais ne le serait pas pour les traiteurs, ou les repasseuses.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
- artragis
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Tout dépend quels restaurants, tout dépend si tu parles "cafétariats", "brasseries", "bars", "cafés", "restaurants avec étoile(s)". En fait moins taxer cette activité permettra surtout de favoriser des grands restaurants, les brasseries et les cafétariats et pendnat l'été les cafés.Aller au restaurant ou au café est un luxe qui n'a besoin d'aucun dumping.
L'avantage, on se ruinera moins pendant nos vacances même si ma famille et moi nous arrêtons peu dans les cafés qui sont très chers, le coca à 3€ en Espagne, je l'ai toujours pas digéré.
Pour cafétériats, brasseries et restaurant ça sera un coup de pousse aux repas équilibrés, donc pourquoi pas.
Maintenant, ma mère cuisinant beaucoup, je confirme ça coûte moins cher de manger chez nous au calme que dans une cafet, une brasserie, dans le bruits et la chaleur étouffante.
http://zestedesavoir.com une association pour la beauté du zeste.
Bien d'accord. Pour les 10 € d'un médiocre "plat du jour", on peut se délecter à 4 chez soi.
et le type qi est prêt à donner 3 € pour un coca (ou 6 pour un céfé, comme je l'ai vu) n'est pas à 10 % près sur sa note ...
et le type qi est prêt à donner 3 € pour un coca (ou 6 pour un céfé, comme je l'ai vu) n'est pas à 10 % près sur sa note ...
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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