Maintenant, on utilise ce terme constamment, que ce soit pour une place de parking ou pour des dérives très sérieuses.
Je sais que cet argument fait la part belle aux associations, mais au détriment de son importance.
C’est comme le mot « facho » , utilisé en général pour les électeurs du front national. Mais savez vous que c’est dans les cités que les votes pour ce parti sont les plus nombreux ?
Et a cela, l’explication n’est absolument pas le racisme, mais l’insécurité constante.
Ce que demandent ces électeurs, c’est le retour des forces de police dans les lieux qui leur sont depuis longtemps interdits.
Car Le Pen prône un état policier et cela leur semble la seule solution pour palier aux attaques diverses dans les cités.
Le paradoxe, c’est que c’est bel et bien dans les « tours » et les « barres » que le racisme est le moins présent, et pourtant, c’est là que le front racole le maximum de ses voix.
Alors que la plupart des politiques se sont cassés les dents sur ce problème, Sarko a redonné espoir avec sa descente à Argenteuil et sa fameuse phrase sur « le coup de karcher ».
Mais voilà, comme d’habitude, il s’agissait là encore d’une phrase marketing, sans suite.
Car lorsque les français ont voté pour lui, seul 1/3 l’ont fait pour le pouvoir d’achat, les 2/3 restant l’ont fait pour la sécurité.
Mais, comme tous les autres présidents, il a tout misé sur la sécurité routière, bref, la sécurité qui rapporte.
Alors que c’est bel et bien l’augmentation et la bonne utilisation des forces de police que les électeurs lui demandaient. Mais là, c’est la sécurité qui coûte. Bref, Sarko déçoit sur ce plan, tout autant que ses prédécesseurs.
Bref, pour les habitants des cités, le rêve Sarko est tombé à l’eau, et le front national se redessine.
Mais en en revenant au mot « racisme », il faut bien comprendre que le français ne l’est absolument pas. Peu de pays peuvent, même avec les revois aux frontières actuels, se prévaloir d’autant de bonté face à l’émigration, donc aux race différentes et aux mélanges d’ethnies.
Les personnes qui ont fait du tord à ce mots ne sont pas blancs, mais bel et bien émigrés.
Le procès par rapport à l’esclavagisme, il fallait oser, alors que les principaux responsables sont à six pieds sous terre. Brefs, des aberrations comme celles-ci ont bafouées l’importance d’un génocide bien plus meurtrier et vil que n’importe lequel d’entre nous ne peut imaginer.
En plus courant, je citerais les blacks et les beurs, à qui on ne peut rien dire, sans se faire traité de raciste.
Ces gens là traînent dans la boue un mot d’une noblesse incroyable cachant une réelle détresse et injustice.
Alors arretons d’utiliser ce mot à tord et a travers, car il représente une réalité des plus douloureuses pour ceux qui en pâtissent vraiment.
Voilà, c’est ce que je constate, mais vous ?
